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BLOG DE FLOT, SCRIBE.LOVE.COM, pour séduire les prochains rêves

L’heure des nanotechnologies, permet d’envisager des possibilités de réserves d’eau dans un climat désertique. À Cambridge, suite à la découverte d’une espèce de scarabée ayant la capacité de récupérer la vapeur d’eau, des chercheurs ont adapté le phénomène du procédé naturel à un procédé technologique, avec un support hermétique trempé dans des solutions polymères, ils ont réussit à provoquer une porosité, associant des nanoparticules de silice pour augmenter la rugosité sur un matériau ayant la capacité à ne pas s'imbiber d'eau, et rendre certaines parties hydrophiles afin de piéger les gouttelettes d’eau d’une atmosphère humide et de les conserver pour enfin les récupérer.

26 Août 2019 , Rédigé par BLOG DE FLOT, cyberflot@hotmail.fr

 

Entre technique et société, les réseaux de communication associés à la technologie du web et à son acharnement récurrent au développement de la nanotechnologie pour des raisons de stockage, de coût des supports toujours plus petits et bien sûr de performance associée, la notion de doute et de fébrilité provoque un découplage par une fracture dans sa terminologie sociétale en terme de droit ; il faut comprendre que le terme « nano » est précis en terme de taille ; cependant la technologie actuelle n’envisage plus de limite dans le monde du petit, il est donc difficile de donner une définition à quelque chose de non fini et en constante évolution.
S’il n’y a pas de définition, il n’y a pas de loi, donc pas de réglementation applicable. La réalité dans le monde de la haute sphère des dirigeants de multinationales, est qu’ils déplacent de colossaux budgets en direction de la recherche des nanotechnologies et aussi, dans des domaines autres que les médias.
Les dirigeants, conscients de l’enjeu du phénomène de vitesse en l’état de non droit d’une législation non encore établie, aperçoivent le gain financier qu’ils en espèrent pour y investir sans risque rapidement.
Des doutes et des craintes sur ce point, permettent de se poser la question, quant à l’utilisation des nanotechnologies en communication.
De plus, un sentiment de non crédibilité des médias dans la multiplicité d’accessibilité informationnelle est provoqué par le format des supports très petits. Pourtant le rapport du petit est commercialement un atout dans l’imaginaire de la culture occidentale et asiatique, et la notion de dépendance affective s’envisage par cette évidence.
l’Ipod d’Apple, en est le symbole même, son écran tactile offre de l’émotionnel. L’émotionnel provoque l’accoutumance et cette dernière n’est-t-elle pas une forme de drogue ? Cette dépendance par les sens et le retour au moi, n’est-elle pas synonyme de fébrilité ? En bref, et pour justifier le phénomène de doute et de fébrilité que provoque le découplage si dessus, on peut ajouter qu’une culture qui s’appuie sur l’expérience plutôt que sur la théorie, est en désaccord fondamental avec des technologies industrielles récentes de communication.
En conclusion, cette illustration argumentaire positionne en termes fondamentaux le danger de laisser aux seuls hommes politiques, aux industriels, aux bureaux d'études et à la presse, le monopole des discours et des technologies en information et en communication, sans avoir la garantie de leurs compétences d’analyse en science sociale de manière éthique.
Les sciences de l’information sont aujourd’hui en mesure d’assurer le challenge du découplage entre technique et société ; l’élément de non droit inapplicable aujourd’hui aux nanotechnologies, doit être une réflexion sur la redéfinition des titres honorifiques des pouvoirs en place (politique et communication interculturelle…). Les idées communicationnelles doivent devancer la technique ; les suites d’opérations évènementielles culturelles et sociales se doivent de se démarquer toujours en tant que phénomène de tendance dans un horizon humaniste.

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